Chroniquettes
> Chroniquettes

(posté le 15/02/2012 à 22:07)

La solitude avec Edith Piaf, des portraits de femmes inaccessibles, des livres à lire, Georges Bataille, Saint Augustin, quelques instants de hasard.

Commentaires

(posté le 13/02/2012 à 08:08)

Cesser de se raser pendant les vacances est à double tranchant quand ça gratouille et que les poils sont arrachés à leur tranquille poussée.

Commentaires

(posté le 12/02/2012 à 17:20)

« C'est terrible ! », lance pour la quarantième fois Jacques Aeby, évoquant Kiki Morandi, cheveux au vent, BM décapotée, incompétence fribourgeoise. « C'est terrible ! », Nicoulin, el historiador, inaugurant à côté d'un dictateur sans âge la crouille nouvelle laiterie de Nova Friburgo. « C'est terrible ! », ce sont nos impôts.

 

Commentaires

(posté le 11/02/2012 à 12:04)

Derrière le parcours vita, l'étendue neigeuse rase la ville déjà oubliée. Rase campagne : une ferme, un cul de sac, des bêtes à chasseurs.

Commentaires

(posté le 10/02/2012 à 14:09)

On commence toujours l'année fatigué. Écouter les Grosses Têtes réveille le rire oublié dans la nuit des temps.

Commentaires

(posté le 09/02/2012 à 11:44)

La joie de réussir à faire soi-même la saucisse à rôtir n'a eu d'égale que la tristesse d'avoir oublié les choux de Bruxelles.

Commentaires

(posté le 08/02/2012 à 19:10)

En 1903, on savait encore écrire. Je lis avec ravissement une chronique historico-artistique de l'époque bénie où l'on savait encore ce que c'était qu'une phrase.

Commentaires

(posté le 07/02/2012 à 19:20)

Plonger dans le Moyen-Âge de chez nous, la vie des gens au bourg de Montagny en 1447, la veille de Noël, avant l'attaque de ces salopards de Fribourgeois. Le meunier des Arbognes (Hubert, bien sûr) et les fours des Monts, le seigneur qui s'emmerde en attendant la guerre, l'incendie sacrilège de l'église, la revanche au Gottéron (on la veut, on l'aura, la victoire du Gottéron), les assaillants à genoux devant les résistants...

 

Commentaires

(posté le 06/02/2012 à 19:14)

Écouter les gens qui parlent de vin m'impressionne et m'enrage. Ils utilisent un vocabulaire mystérieux qui leur semble évident, qui leur est spontané, comme si le lien était direct entre la sensation gustative et l'expression verbale, comme si les mots ne posaient pas problème. Mon côté écrivain nuit à mon côté oenologue.

Commentaires

(posté le 05/02/2012 à 22:59)

On pardonne aux chanteuses américaines de chanter Ne me quitte pas, pas aux françaises, parce qu'elle ne comprennent pas ce qu'elles chantent, ni les unes, ni les autres.

Commentaires

Page PrécédentePage suivante

Supprimer les publicités sur ce site pendant 1 an

photo : Pont de Pierre de Bordeaux par Olivier Aumage - Tous droits réservés